Je présente ici quelques notes sur les pratiques en matière de prise en charge des fausses routes en gériatrie et en fin de vie.
On voudra bien les lire en se souvenant que, comme tous les textes présentés sur ce site :
Il ne s’agit que de du compte-rendu de mon expérience personnelle ; je n’ai aucune prétention à présenter un exposé complet.
Les propositions que je fais concernent les personnes âgées et les malades en fin de vie. Je ne sais absolument pas dans quelle mesure elles pourraient être applicables par exemple à la question des personnes handicapées.