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En réponse à :

La souffrance en fin de vie

, par Chantal

Bonjour,

Je vous remercie d’avoir répondu à mon message. Pour vous apporter un complément d’information au sujet de papa, la maladie était déjà bien avancée avant son hospitalisation : il était incapable de faire une phrase et gémissait déjà une bonne partie de la journée.
Aucune autre maladie n’a été décelée parmi celles que vous citez. Et comme il ne parlait plus correctement, personne ne savait s’il avait mal quelque part ou pas.

Mon frère et moi avons pris la décision avec le corps médical de ne pas faire d’acharnement thérapeutique, et de faire que sa fin de vie soit la plus "douce et confortable" possible.

Nous essayons d’en convaincre maman que c’est la meilleure des solutions, car effectivement, même si sur le plan physique une amélioration est possible, la démence elle sera toujours là et n’ira qu’en empirant.

Il nous reste plus qu’à soutenir notre mère (qui s’en veut maintenant d’avoir eu si peu de patience au cours de ces dernières années envers notre père) et d’essayer de faire notre deuil.

Pour finir, je voulais vous remercier pour votre site qui apporte beaucoup de réponses à des questions qui sont parfois difficiles à poser au personnel soignant.
Bien à vous. Chantal

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