Bonjour, Dom.
Je vous suis tout à fait, et cette intransigeance déontologique reste pour moi dans la liste des choses que je me reproche. Mais il faut trouver un équilibre, car la déontologie a ses droits. Si c’était à refaire...
Par contre, je crois que les professionnels ont développé une compétence dans l’évaluation de la souffrance. Je dis bien : la souffrance, et non pas seulement la douleur. Le problème est qu’évidemment cela reste très subjectif, mais cette compétence existe ; heureusement.
Bien à vous,
M.C.