Bonsoir, Mélanie.
Vous avez raison : il faut maintenant vous occuper de vous.
Comme vous le constatez, il y a un contrecoup, et ce contrecoup se passe dans votre corps. C’est habituel, largement, inévitable, on peut même dire que dans une certaine mesure cela aide au deuil. Mais il ne faut pas que les choses aillent trop loin.
Prenez soin de vous.
M.C.