Je vous lis. Et en supposant les distinctions suivantes :
Renoncement intellectuel :
paresse intellectuelle liée à la fatigue accompagnant la dégradation des capacités physiques.
incapacité du sujet à se concentrer sur une activité autre que la préoccupation de son état (douleurs, angoisses, etc).
Démence sénile :
troubles psychiques liés à des lésions diverses apparaissant avec l’âge mais non associées à un mécanisme précisément identifié.
Maladie d’Alzheimer :
troubles psychiques liés à des lésions de type particulier (éventuellement identifiables post mortem).
On sait ce que peut être l’idée que l’on se fait de la vieillesse et des maladies qui pourraient l’expliquer.
On comprend l’intérêt de distinguer ce que j’appelle renoncement et ce que j’appelle démence sénile.
1) Avons-nous aujourd’hui les moyens de distinguer ce que j’appelle Alzheimer, en tant que mécanisme spécifique, de ce que j’appelle démence sénile (même si l’un n’exclut pas l’autre) ?
2) Voulons-nous seulement désigner par un nom distinct la démence sénile du sujet jeune ?