Il s’agit de permettre une sortie de la confusion et une réautonomisation.
Nous n’avons aucun moyen de dire si cet objectif est réaliste, nous devons donc le prendre tel quel.
Oui. J’imagine bien ne pas avoir accès à l’évaluation du risque et du bénéfice. L’administration d’un psychotrope à un malade confus est la dernière chose à faire, je veux bien l’imaginer aussi, mais est-ce tenable très longtemps pour un malade qui n’est pas en fin de vie mais qui souffre d’angoisse et de confusion qui pourraient tout aussi bien augmenter l’angoisse ou tout au moins l’inconfort ?