Bien sûr, c’est difficile, peut-être même impossible, mais si l’on dit que l’on est du côté du soin pour ce que les situations de fin de vie permettent encore de vivre, il n’y a pas d’autres choix que de favoriser ces éléments positifs : si l’on savait exactement comment, il n’y aurait pas de débat autour des situations dramatiques. Et si ces élements positifs n’existaient pas, la situation ne serait-elle pas plus dramatique encore pour le patient ?
Bien à vous,
B.