Bonsoir, Kolasa.
Moi aussi, cela me heurte.
Mais il faut le redire : ce qui me heurte, ce n’est pas le tutoiement, dont je crois qu’il peut, surtout en EHPAD, être légitime dans de nombreuses situations ; c’est le tutoiement irréfléchi, injustifié, qui ne correspond qu’à une volonté de pouvoir sur la personne.
Ainsi toute la question, dans l’établissement où vous travaillez, est de savoir si cette question du tutoiement a fait l’objet d’une prise de conscience, d’une discussion, d’une décision d’équipe. La règle est, ici comme ailleurs : on a tous les droits sauf celui de ne pas savoir ce qu’on fait.
Bien à vous,
M.C.