Bonjour Martine,
Merci pour vos encouragements mais je ne voudrais pas vous vous m’épreniez, je ne veux en aucun cas faire l’apologie du choix du domicile en réponse au choix du placement en institution. En revanche je crois nécessaire même fondamental de repenser le rôle de l’entourage et par conséquent celui des soignants dans la prise en charge des besoins fondamentaux d’une personne démente, surtout quand cette dernière est dite " opposante" ... et ce quelle que soit l’option ( institution ou domicile ) retenue.
Sophie