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En réponse à :

Le diabète en fin de vie :

, par evelyne zananiri

Et bien, me revoilà : en rectifiant mon adresse mail, votre message que je n’avais jamais lu est apparu et je vous en remercie. Je suis atteinte d’un diabète de type 1 (probablement depuis l’enfance) et je suis surprise que vous vous étonniez des émotions que je ne peux décrire puisqu’elles sont fréquentes et m’isolent quelque peu. J’ai quitté ma banlieue pour atterrir dans une maison de retraite médicalisée dans le même secteur. Mes hypos étaient trop fréquentes et ma fille a eu peur. Bref je suis prise en charge, parmi des femmes du même âge. Quel erreur en effet, mes oreilles trop sensibles ne supportent pas les bavardages bruyants. Je vais avoir 78 ans et sincèrement si je pense à la fin de vie pourquoi ne pas l’envisager naturellement, ce n’est pas une vie de marcher difficilement sans aide évidemment, l’APA ne me prend pas en charge donc c’est très cher. L’insuline ne m’a jamais fait grossir et quelle importance.
Merci à vous.

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