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En réponse à :

Le sondage urinaire en fin de vie

, par Michel

Bonjour, David.

Je trouve votre message à mon retour de vacances, veuillez excuser le retard de cette réponse.

Cette histoire est difficile : d’ordinaire les choses sont beaucoup plus simples, et je n’ai aucun moyen de savoir pourquoi on n’arrive pas à trouver une solution plus confortable.

Du coup, je comprends l’urologue : il ne se résigne pas à ne pas résoudre le problème, et je suppose bien qu’il va vous proposer une autre stratégie diagnostique. Vous ne m’avez pas répondu quand je vous demandais ce qui vous est arrivé exactement : au début vous parliez d’une vessie neurologique, puis vous avez dit que ce n’en était pas une. Mais alors, que s’est-il passé ?

Cependant si l’urologue ne trouve pas de réponse satisfaisante, il faut garder à l’esprit qu’il s’agit de vous. C’est vous qui devez avoir le dernier mot quant à la solution définitive. Je continue à penser que l’autosondage est une solution bien meilleure que la sonde à demeure, mais à condition que cela soit confortable pour vous. Si vous décidez que vous voulez une sonde à demeure, je comprendrais mal qu’on vous la refuse.

Bien à vous,

M.C.

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