Bonsoir, Anne.
Je pense que c’est en effet une très bonne idée. Elle est d’ailleurs défendue par Jean-Marie Gomas, l’une des figures emblématiques des soins palliatifs français.
Cela dit il faudra garder en tête les limites de l’exercice : rédiger de telles directives dans le calme d’une séance de formation ne permettra jamais de savoir ce qui se passe quand on les rédige avec la mort qui rôde. Mais qu’y peut-on ? Personne ne peut s’entraîner à la roulette russe : s’il n’y a pas de balle ce n’est pas de la roulette russe, et s’il y en a une ce n’est pas de l’entraînement...
Bien à vous,
M.C.