Bonsoir, Pierre, et merci de votre appréciation.
Mais... vous me faites peur.
Vous me faites penser à cette vieille règle des théologiens : quand tu as tout expliqué, tout démontré, que tout est parfaitement clair, c’est que tu t’es trompé quelque part.
Je crois très fermement à ce que j’ai écrit. Mais je n’oublie pas, et je vous prie de ne pas oublier, que c’est épouvantablement schématique, et que j’ai passé sous silence énormément de choses. Si je me suis résolu à publier ce texte, c’est seulement parce que malgré tout je crois qu’il peut permettre aux proches confrontés à un problème de démence de se trouver un peu moins perdus. Mais l’essentiel, c’est ce que le malade vous apprendra.
Bien à vous,
M.C.