Bonsoir.
Vous avez raison, il y a un savoir qu’il faudrait mettre en commun.
Mais naturellement il faudrait être très prudent : car une chose est d’essayer de redonner des repères au dément, une autre est d’en donner à des gens sans déficit cogntif et qu’on a délibérément plongés dans le noir. Mais si déjà on pouvait prendre acte du fait que nous ne sommes pas les seuls à réfléchir...
Bien à vous,
M.C.