Bonsoir, Dominique.
Votre analyse est vraisemblable en effet.
Mais il faut se souvenir que cette notion de marchandage, comme tout ce que je décris dans l’article, n’est rien d’autre qu’une manière de voir. Le marchandage est rarement constitué en système complet et cohérent. Parler de marchandage sert surtout à l’aidant, qui peut ainsi mieux décrypter l’état d’esprit dans lequel le malade se trouve, et éviter ainsi des erreurs d’appréciation : quand on s’aperçoit qu’un sujet marchande, le mieux est de le laisser faire, sauf si son marchandage le met en danger (par exemple : si au lieu de faire ma chimio je fais de l’acupuncture, je vivrai plus longtemps...).
Bien à vous,
M.C.