Bonsoir encore. Je suis bien d’accord avec vous "Quant au refus de vous autoriser à jouir de la maison de famille, c’est tout à la fois une discrimination, un abus de pouvoir et une faute professionnelle". Or, il semble que les deux avocats consultés recherchent plutôt des fautes de gestion. Il me semble aussi que la faute principale est cette volonté déblibéré de nous refuser à jouir de la maison de famille et à y apporter notre présence ponctuelle, pas seulement une visite d’une à deux heures par jour. Sommes nous d’accord là-dessus ?