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En réponse à :

La tutelle des personnes âgées

Merci Michel pour cette réponse "élargie" et équilibrée. Je n’en demandais pas tant. ;)

Je pense que vous avez bien saisi le fond du problème mais vous m’avez hélas donné la réponse que j’appréhendais. Nous marchons sur des œufs.

Pour l’histoire du notaire, je crains que cette piste ne nous mène pas bien loin vue que les choses sont claires de ce coté là.

Le partage a été fait au décès de notre père il y a bien longtemps déjà et la maison appartient à ma soeur ma mère bénéficiant de l’usufruit.

>... Reste que si, pour quelque raison que ce soit, votre mère a consenti à ce qui lui arrive, vos allez être en difficulté : la liberté c’est la liberté de faire ce qui me dérange, et c’est par conséquent aussi la liberté de se faire escroquer...

Justement, c’est bien là que le bât blesse et un spécialiste de la santé (psy) n’aurait aucune difficulté à constater que ma mère est sous influence et qu’il y a là une question d’intérêt.

Démontrer qu’elle n’a pas toutes ses facultés (mais ou commence "la perte d’autonomie à ce sujet") serait en effet l’idéal mais aussi faudrait-il que quelqu’un (médecin traitant, hôpital, service sociaux, etc...) ait le courage de prendre ses responsabilité ce qu’ils semblent avoir du mal à faire.

Au delà de mon problème personnel car je commence à comprendre le chemin où aller, je me rends compte que le problème n’est simple pour personne d’autant plus que ces derniers jours j’ai entendu des mots qui s’éclairent juste après avoir lu votre réponse.

Tant dans la bouche de certains membres de ma famille que dans celle d’autres personnes concernées (institution), j’ai discerné du stress, de la crainte, de la peur des incongruités, des menaces voilées, des pressions et même entendu (du bout des lèvres) le mot "diffamation", alors qu’il ne s’agit que de protéger une petite vieille.

...alors qu’il n’y a même pas d’intérêts financiers (héritage) en jeu. Ou si peu. :-//

Alors, je m’interroge.

Je me suis intéressé bien sûr à la protection juridique (sans encore parler vraiment de tutelle ou curatelle. Quoi que...), appris que l’institution médicale et sociale était très sensibilisée à ce problème et je frémis un peu quand il s’agit de pénal. Ceci explique cela.

Oui Michel, ce n’est pas facile de me répondre de manière simple mais je béni le ciel que vous avoir questionné.

Vous nous avez fait avancer d’un grand pas. :)

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