Bonjour, Alexandra.
Vous avez raison de pointer le dérisoire de la situation.
Mais voilà : d’un côté on n’est pas là pour soigner les soignants, de l’autre il ne faut pas sous-estimer leur désarroi, qui peut les pousser se lancer dans ce genre d’actions de diversion. On va trop vite en y voyant un enfantillage ou une condescendance, c’est plus compliqué que ça...
Bien à vous,
M.C.