Bonsoir, Chantal.
Alors la situation est malheureusement très claire, et il n’y a sans doute guère d’amélioration à espérer. On en vient même à se demander s’il faut la souhaiter.
Le problème de la durée reste entier, car s’il n’y a que la lente glissade du dément qui se laisse aller à sa fin, il arrive que les choses durent. C’est dire l’enjeu qu’il y a à lui assurer le confort maximum ; en général on y arrive assez simplement.
Tout ce que je peux vous recommander est de ne pas chercher à trop pousser votre mère à partager votre sentiment : ce sont des choses très mystérieuses, et le travail se fait, même s’il utilise des chemins bizarres. Ayez confiance dans sa capacité à cheminer à son rythme dans ce travail de deuil.
Bien à vous,
M.C.