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En réponse à :

Les troubles psychiatriques du sujet âgé

, par Stéphane

Bonjour,

Je voudrais votre avis sur deux majeurs qui ont eu des hallucinations auditives ou mauvaise interprétation de la réalité avec des croyances aléatoires sur l’identité d’une personne. Tous les trois vivaient comme voisins dans le même immeuble dans le 18ème arrondissement de Paris.

Au début, c’était l’aménagement du voisinage dans un immeuble du 18ème arrondissement, les nouveaux locataires venus de différents horizons et de cultures différentes. Puis il y avait un appartement de libre pour deux personnes, majeurs protégés, pour leur donner leur chance de vivre en société.

Le syndicat de l’immeuble avait obtenu l’accord pour ces majeurs protégés auprès des locataires.

Mais au cours de l’année, plusieurs aller-retour d’infirmières auprès de ces jeunes majeurs protégés pour prendre de leur nouvelle de leur situation.

N’ayant rien à dire, les infirmières repartirent au CHU.

C’est à ce moment là que une chronique de mensonge ou croyance a commencé chez ces jeunes majeurs protégés. Ils s’amusaient à écouter aux portes, les conversations téléphoniques sans pour autant comprendre mais retenaient quelques mots d’une phrase. Et avec un peu d’imagination, ils parvenaient à consolider une histoire sur le dos de la personne.

D’autre médisance ou diffamation ou même du délire étaient parvenus à un CHU, ce qui a interpellé le corps de la psychiatrie de Paris.

La personne victime de cela a été interrogée par la psychiatrie à la Réunion et les questions étaient des connaissances intellectuelles (datation des études) et reconnaissance de l’identité du père de famille de la personne interrogée(sa profession, situation sociale).

Vue la tournure, les chances de retrouver sa dignité sont infimes.

De plus, le cercle CHU est très petit, les connaissances de personnels médicales sont non méconnaissables, car les parents de cette victime étaient du personnel médical des CHU de la Réunion.

Il y a eu une mauvaise interprétation de la pars de ces majeurs protégés, illettrés selon le syndicat de l’immeuble, sur un sujet de xénophobie lu dans un article syndicaliste. Xénophobie signifie la peur de l’étranger. Mais pour ces jeunes majeurs protégés illettrés, ils avaient la conviction que l’étranger a peur.
Alors, ils s’amusaient à offenser les locataires auprès de celles ou ceux qui veulent ouvrir une thèse psychiatrique.

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