Bonsoir.
Je suppose que je le qualifierais comme vous. Car le plus grave dans cette affaire n’est pas tellement qu’on embête la collègue de nuit mais qu’on crée un inconfort chez la résidente. Il s’agit donc d’une maltraitance caractérisée pour laquelle la seule réponse est d’exiger que cela cesse immédiatement.
Après, bien sûr, il faut comprendre comment l’équipe a pu en arriver là...
Bien à vous,
M.C.