Bonsoir, Sophie.
Je crois qu’il y a de multiples raisons. Notamment les psychanalystes ont de quoi se régaler.
Mais il me semble que la piste de réflexion la plus intéressante est culturelle. D’ailleurs il n’y a pas que les personnes âgées : voyez les soignants...
Cette connotation culturelle est très négligée, et il faudrait en faire l’histoire : vous êtes vous déjà demandé de quoi on s’enquiert quand on vous demande : "Comment allez-vous ?" ?
Bien à vous,
M.C.