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En réponse à :

Le grabataire sans médecin gériatre !

, par Carole

Bonjour Michel,
Non aucune ainsi que vous le dites si bien ! Si vous même disposez d’un "piston" = contact très haut placé et actif au Ministère de la Santé, nous seront effectivement intéressés bien entendu.

Comme le dit justement (et durement) un médecin spécialiste : "il est entré en USLD, cette USLD est devenue un EHPAD ? _ yeux écarquillés de stupeur_ le pauvre .... Le moins pire pour lui serait qu’il meure vite. Jamais, il ne sortira de cette structure avec toutes ses autres pathologies très lourdes et nous savons quelle y est la qualité des soins donnés dans ce cas !".

Et vous, qu’en pensez-vous (avocat + tutrice + juge + ... = vus = fait avec les résultats que vous connaissez = quasi nuls, etc) ? Sans adoucir la situation, car nous n’en sommes plus du tout là. Mais bel et bien dans la réalité médicale dure et bien plus sévère que décrite ici. Quant au juriste spécialisé en droit médical hors hôpital, je n’en ai trouvé aucun et vous remercie pour nous tous et toutes d’avance du lien que vous pourrez peut être nous fournir.

Mettre des "lunettes roses" ? Pour voir combien cet univers-là est "rose" et se bercer d’espoirs, quand il n’en reste pas ou très peu ? Je penche davantage effectivement pour le réalisme en l’occurrence ! Cela ne signifie en rien "baisser les bras", je poursuis sans relâche mais avec réalisme, et fais .... ce que je peux faire .....

Lui ? Il se sent bien sûr totalement "pris comme un rat" avec ses 85% de raison restante très active et son vécu quotidien très lourd. Lui, il a vécu le déchirement de ce retour en un lieu dont il voulait partir (non entre 4 planches, comme la majorité de ses congénères) et a bien réalisé de lui même la dureté de ce "retour à la case départ".

Il a décidé en conséquence de ne plus avoir de contacts que très minimaux avec le monde extérieur, donc il dort le plus possible pour ne pas voir ce qui l’entoure et veut maintenant "partir" (mourir) vite. Et est maintenant sous anti-dépresseurs.

Pour lui, un soutien psychologique demandé via la psychologue de l’hôpital = à suivre.

Merci de votre soutien Michel.

Carole

Carole

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