C’est même très positif.
Ne pas laisser passer, à condition de les avoir identifiées de façon certaine, et à condition d’avoir une solution de secours.
Nous voyons que pour une part non négligeable, les choses étaient dues à l’attitude de l’ancien médecin peu à l’écoute, et de l’existence d’une demande de mise sous tutelle qui pouvait peut-être faire douter l’équipe de votre légitimité.
Mais cela n’explique pas tout. En ce qui me concerne, j’ai l’occasion de constater que dans les structures publiques et organisations quasi-publiques, souvent dans le monde de la santé, les termes de management, encadrement, direction d’équipe, n’ont aucun impact sur l’implication des chefs d’équipe sur la façon dont les réflexes individuels s’expriment pour compenser l’absence d’encadrement, car en effet, s’il n’y a aucune solution collective, un réflexe s’apparentant à de la maltraitance peut-être ponctuellement le meilleur. Et c’est inacceptable.
Donc ?
Personnellement, j’imagine quelque chose d’assez simple à réaliser, une association centralisant et diffusant un questionnaire portant sur les pratiques basiques des institutions, maisons de retraite, etc, questionnaire rempli par les usagers et/ou leur entourage. De simples constatations factuelles dont l’accumulation pourraient signaler l’existence de problèmes.
Bien à vous,
BC