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En réponse à :

Le bien être de la personne en USLD

Bonjour Carole,
Pour répondre à la question de savoir ce qui est le mieux pour le malade, on ne peut que s’imaginer à sa place, et supposer qu’il reste en partie ce qu’il était, intelligent, capable de s’adapter... Ma réponse est donc purement spéculative.
Reste-t-il quelque chose à vivre ? Si oui, ce ne sont pas les actes quotidien de toilette et d’alimentation qi sont difficiles. Tant mieux, ils sont réalisés par d’autres, et il peut essayer de "s’absenter" durant ce temps, et tant mieux s’il y arrive.
Si oui, c’est donc le reste... Quel reste ? A vous de le créer. A lui et à vous, à condition que vous le vouliez. Mais le voulez-vous, et en tant que quoi ? Amants, amis, anciens compagnons...
Peut-être vous posez-vous la question (et je serais le premier à me poser cette question). Bien sûr, vous n’avez pas à tout dire ni à tout lui dire, mais à savoir ce que vous voulez créer et comment.
Si vous envisagiez de vous faire moins présente, choisir un autre établissement ne serait-il pas préférable ? Il y a par exemple des lieux de soins palliatifs où les malades, même immobilisés, sont sortis dans les jardins dans leur lit à roulettes, je veux dire des lieux où existent d’autres perspectives que celles d’un personnel dépassé.

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