Bonjour, Jo.
Je ne sais absolument pas vous répondre, car je n’ai jamais utilisé la quinine.
Il me semble que la seule solution est d’essayer, en prenant la précaution d’utiliser des doses très faible, très diluées, puis d’augmenter progressivement en observant ce qui se passe, aussi bien du point de vue de l’efficacité que de celui de la tolérance. Si l’usage de la quinine est un enjeu capital, je crois que c’est une démarche acceptable.
Mais d’un autre côté on peut considérer qu’il s’agit d’une expérimentation sur l’humain, et il faudrait par conséquent tenir compte des dispositions de la loi Huriet.
Bien à vous,
M.C.