En effet, ce seraient les bonnes questions. Je crois qu’on ne s’est jamais donné les moyens d’y répondre. Ajoutons que, pour le coup, le simplisme qui consiste à présenter, précisément, la maladie d’Alzheimer comme univoque, et à laquelle l’âge ne modifierait rien en termes de symptomatologie tue cette discussion, qui pourtant serait fondamentale.
C’est ce même simplisme qui explique sans doute pourquoi on ne s’est jamais préoccupé de chercher pourquoi il y a des patients qui semblent répondre au traitement, alors que dans le cas général c’est un échec.
Bien à vous,
M.C.