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Re-bonjour Michel (et à ceux qui suivez),

Ben dis donc, Michel, vous êtes d’un efficacité redoutable.

Vous faites passer des horribles idées qui mieux comprises éclairent les ténèbres de nos incapacités tout en sachant être vraiment précis. :)

>...Mais ce dessaisissement a des conséquences. Notamment on crée ainsi de trous dans lesquels rien ne marche. C’est là que vous vous trouvez.

Je vous ais fort bien suivi et comprends mieux la frilosité de mes présentement (ex) adversaires et, si je me doutais bien que ce n’est pas non plus facile pour eux (d’autant plus que nous sommes dans un petit pays d’à peine 3000 âmes), je réalise d’un coup la profondeur du trou pour ne pas dire sa largeur et ses inconvénients.

Hé ben, on n’est pas sorti de l’auberge, mais je suis moins inquiet car ces nouveaux éléments (pour moi) vont me permettre d’affiner ma recherche et d’éviter le risque de disperse tant l’affectif nous aveugle et nous fait tromper de route quelquefois.
Je ne vous remercierais jamais assez pour ce petit cours de prospective médicale teintée d’un soupçon juridique qu’on devrait nous apprendre à l’école. Mais que fait donc la police ? :)

Bien, je vais en faire mon affaire et pouvoir discuter avec "eux" informé.

Pour ce qui est de savoir si "il existe des critères médicaux précis", nous n’allons pas tarder à le savoir car suite à ma démarche disons un peu musclée, ma mère vient d’avoir droit à la visite d’un psychologue et son bon de sortie n’est toujours pas signé. Déjà trois jours de gagné.

Pour le transfert manu militari vers la maison de retraite, là-aussi on hésite car il n’y a "soudainement plus de place" (ce qui est une bonne nouvelle) et, quand l’assistante sociale aura expliquée à son directeur pourquoi elle raconte à ma soeur que je suis d’accord même si ce n’est pas et autres fariboles qui pourraient bien la faire rayer des cadres si elle en est, nous y verrons plus clair.

J’ai d’ailleurs écris à son patron (non pour la faire virer que diable) mais pour lui expliquer la situation et exiger que la famille soit bien informée.

Sans haine, sans menaces, mais assez fermement pour lui faire comprendre que notre mère est notre bien le plus précieux et "qu’un signalement de suspicion de maltraitance et de spoliation de personne âgée vulnérable serait opportun de la part de son établissement car un devoir pour lequel il a été mandaté".

Bon, je ne le lui ais pas dit comme cela (j’y ais mis quelques formes), mais me suis étonné devant lui de l’ambiguïté de cette affaire et du comportement du service social et médical qui trouble ainsi (et aussi) les familles. Pour en savoir plus, il n’aura qu’à cliquer. ;)

A suivre donc et merci de m’avoir écouté. :)