Bonjour, je ne suis pas un professionnel, et il n’y a pas d’autre intérêt que celui induit par votre article.
Je crois qu’effectivement, si on ne sait pas très bien définir ce qu’est exactement une dépression, au point de la définir comme la maladie qui est améliorée par les antidépresseurs, c’est la meilleure façon d’en traduire la compréhension médicale et les limites. Et je trouve cela plutôt satisfaisant pour l’esprit.
Cependant, encore deux questions :
Est-ce vraiment une maladie ? Vous y avez sans doute répondu en détaillant les divers cas de figure.
Comment agissent les anti-dépresseurs ? On ne sait pas vraiment bien sûr. Exploitent-ils par exemple des propriétés analogues à celles de l’alcool ou bien des somnifères ?
La seule logique connue (implicite) est-elle d’altérer la facultés cognitives afin d’entraver le mécanisme dépressif ?
Bien à vous,
BC