Bonjour, Christel.
Je comprends votre frustration. Malheureusement je comprends moins votre étonnement.
Car il y a deux grosses réalités :
La première est que les gens sont comme ils sont : tout le monde convient de l’importance de la coordination, tout le monde regrette qu’il y en ait si peu. Mais quand il s’agit de remédier à cette lacune il y a déjà beaucoup moins d’enthousiasme (j’ajoute que dans ma pratique, mais je vous parle d’il y a vingt ans, il fallait se lever matin pour faire venir un kiné en réunion de coordination ; vous êtes sans doute, au moins partiellement, victime de ce passé).
La seconde est qu’il y aurait davantage de réunions de coordination si elles étaient reconnues dans leur importance. Cela suppose une réflexion sur la structure même de l’exercice libéral ; j’y ai cru longtemps, j’ai fini par abandonner le libéral.
Bien à vous,
M.C.