"J’ajoute que par contre l’hypothèse d’une dépression ne tient pas davantage : l’état dépressif ne se prête pas à l’entrée dans un combat aussi rude que le sevrage d’alcool".
C’est vrai aussi. Les deux hypothèses sont probablement vraies simultanément, comme souvent. Mais comment doit-on les prendre en compte chacune ?
Dans l’une, la démence, il y a des mesures personnelles, financières et juridiques qui en découlent, pour protéger et se protéger du malade pour lequel il n’y a peut-être pas grand chose à faire médicalement.
Mais si l’hypothèse de la dépression était la bonne, la conduite à tenir, et avant tout médicale, ne serait peut-être pas tout-à-fait la même, et l’évolution peut-être un peu moins désespérée pour le malade. Faut-il considérer cette possibilité, ou bien l’écarter ? Et la question mérite-t-elle d’être creusée (en se rapprochant certainement du cas d’école).
Bien à vous,