Bonjour, Christian.
Je crois que je partage la perplexité qui est la vôtre, même si je ne la formule pas de la même manière. Vous avez vu que dans mon approche de la bientraitance il y a d’autres questions, de sorte que je ne suis pas sûr de pouvoir dire si simplement que l’une est liberté et l’autre aliénation ; ce serait le cas d’une bientraitance correctement pensée, mais ma question est de savoir s’il est possible, précisément, de penser correctement la bientraitance, et de cela je doute.
Par contre vous me rappelez ma paresse : je dois depuis longtemps écrire quelque chose sur les protocoles.
Bien à vous,
M.C.