Bonsoir, Annette ; et merci de ce faire-part.
Vous avez traversé une dure épreuve ; compte tenu de ce que vous avez dit, tout porte à croire que vous avez donné tout ce que vous pouviez.
Il est triste que les choses aient été "très dures". Pourquoi l’ont-elles été ? parce que les professionnels, malgré leur bonne volonté, n’ont pas donné assez de morphine ? Parce que (ne rêvons pas : en soins palliatifs on fait du convenable, pas de l’euphorique) mourir est toujours dur ? Ou parce qu’il est dans la nature des choses que les accompagnants surévaluent la souffrance de celui qui meurt ?
Difficile. J’espère que la première hypothèse n’est pas la bonne.
A vous,
M.C.7