Bonsoir, Annette, et pardonnez mon retard, je suis en panne d’ordinateur.
Vos nouvelles sont tristes, et il est bien difficile de vous donner un conseil. Vous avez le sentiment que votre père pourrait être mieux pris en charge ; et moi je ne vais pas vous raconter que vous avez tort et que les professionnels sont toujours les plus performants (pour les escarres, par contre, il faut vous dire qu’en toute fin de vie même les meilleures équipes en ont).
Le plus difficile est sans doute de permettre la parole avec l’équipe. N’y a-t-il personne qui vous écoute ? L’équipe réagit souvent sur un mode de panique, surtout quand elle sent que l’entourage du malade est en souffrance. Certes on n’est pas là pour soigner les soignants, mais...
Bien à vous,
M.C.