Bonsoir, Annick.
A votre question sur la désorientation, on ne peut répondre qu’en observant le malade.
Par contre, en ce qui concerne votre attitude, elle fait tout simplement ses preuves : en ce moment, en tout cas, il suffit que vous le rassuriez pour qu’il mobilise ce qui lui reste de compétences pour résoudre son problème de chambre. Tant que cela fonctionne (et tant que l’effort ne lui est pas trop coûteux) il n’y a aucune raison de changer d’attitude.
Bien à vous,
M.C.