ces développements me font penser qu’un patient sait mourir, et qu’il organise ce jeu (avec le temps et la réalité) seul comme le ferait un enfant loin des adultes, et que la douleur (pas forcément la souffrance) impose la présence du médecin et contraint le patient à exposer des règles qui doivent rester secrètes pour permettre le jeu.
peut-on empêcher le jeu ? ne pas participer au jeu ? proposer un autre jeu ?
faut-il aimer ou ne pas aimer le jeu pour mourir d’une belle mort ?