Bonjour Michel,
J’ai cette crainte forte d’un état grabataire irréversible, car il est clair que les soignants ont comme préoccupation unique d"éviter tout risque de chutes". D’ailleurs, cela m’a été dit : "pas de risques de chutes chez nous". Mais se faisant, elles le grabatisent inexorablement.
J’aurai le même désir que vous, si elles n’y faisaient pas obstacle par désir de sur-protection (il a des barreaux latéraux à son lit, une aide mécanisée via rails au plafond pour le soulever, changer les draps, le mettre au fauteuil roulant, etc !) = le lever = demander à deux costauds de le faire, même peu de temps.
Déjà, obtenir qu’elles visent à l’asseoir au bord du lit serait un essai valable.
Pour l’instant, leur souci ne se focalise malheureusement pas sur les escarres développés sous la plante des pieds, que j’imagine liés au contact direct avec les barres de lit !! Contact qui a choqué un ami en visite et très habitué à prévenir les escarres. Donc, au vu de ses escarres sous les pieds = impossible pour lui de se lever ne serait-ce qu’un peu !
Que feriez-vous Michel dans cette situation ? (Vous êtes100% légitime à donner ici vos conseils avisés = MERCI à vous +++).
J’en ai parlé à la directrice de l’USLD, elle a fait semblant de m’écouter, mais rien n’a été mis en oeuvre pour éviter ce contact périlleux. D’où une lettre pour le rappeler et le consigner...
Amitiés
Carole