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En réponse à :

Le grabataire jeune DFT en USLD / tutelle

, par Michel

Bonjour, Carole, et merci de ce commentaire.

Il y a des choses positives, et c’est réconfortant. Il arrive même qu’insensiblement les choses s’arrangent, par exemple (c’est votre cas) quand un seul intervenant change.

On voit ici combien difficile est la question de la maltraitance institutionnelle. Spontanément on est tenté de dire qu’il ne faut accepter aucun compromis. L’idée même d’une part du feu est inacceptable. Mais on apprend vite qu’il y a le pavé de l’ours ; j’en ai quelques exemples personnels assez cuisants. Par exemple cette très vieille dame qui était maintenue à domicile par son entourage dans des conditions et selon des principes qui étaient autant de petites maltraitances (contention, isolement, alimentation forcée, grabatisation imméritée, et j’en passe) ; mais ces maltraitances de fait étaient prodiguées par un tel fleuve d’amour que je défie quiconque de faire mieux que ce que ces maladroits ont réalisé.

La grande difficulté est donc de ne pas laisser passer les choses sans tout faire exploser. Pas simple.

Bien à vous,

M.C

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