Oui. Mais pour mieux comprendre l’article qui semble dire que la perfusion sous-cutanée et la voie intra-veineuse peuvent être vues comme équivalentes : parmi ce qui justifie que l’on choisisse l’une plutôt que l’autre, il y a je suppose le volume à administrer, lui-même potentiellement fonction de la toxicité du produit.
Dans le cas de la fille de Mariejo, il y a l’oedème et la réaction cutanée. Or si la réaction cutanée est un effet secondaire du produit, l’oedème est un effet qui peut être dû au volume seul. Alors, est-il pertinent de tenter de réduire l’oedème en jouant sur le volume, et de traiter la douleur, si l’administration d’un produit par intra-veineuse n’est pas envisagée pour une raison quelconque ?
Bien à vous,