Bonsoir, Céline.
Je ne m’inquiéterais pas outre mesure de cette agitation. Il faut la surveiller, tâcher de la comprendre, mais je suppose bien que les médecins y veillent. Il ne faut jamais oublier qu’il y a un grand écart entre les manifestations, éventuellement spectaculaires, de la fin de vie, et l’inconfort perçu par le malade.
Surtout dans les situations neurologiques : songez à l’épilepsie : je ne connais guère de situation plus terrifiante quand on y assiste ; pourtant... on sait bien que le malade, lui, ne ressent absolument rien.
Pour autant, il faut évidemment être très vigilant. On n’a aucune saison de penser que l’équipe ne mérite pas votre confiance.
Je reste près de vous,
Bien à vous,
M.C.