Bonsoir.
Pour moi vous avez totalement raison d’être gêné. Le problème se pose exactement comme vous le dites et le déni de la liberté des personnes en maison de retraite est un scandale majeur.
Soyons honnêtes : dans les débuts de ma pratique gériatrique, je commettais les mêmes erreurs que les autres. Mais il n’en est que plus important de voir que, comme vous, de plus en plus de professionnels se posent les bonnes questions.
Sur ce thème j’ai beaucoup appris de Marguerite Mérette, infirmière québécoise. Une merveilleuse amie.
Bien à vous,
M.C.