Bonsoir, Isabelle.
Je comprends votre malaise.
Cela ne change rien à ce que je pense, et aux conseils que je dois vous donner.
Mais je sais bien qu’il vous faut un peu de temps. Prenez-le.
Je reste à votre écoute.
Bien à vous,
M.C.
Bonsoir, Isabelle.
Je comprends votre malaise.
Cela ne change rien à ce que je pense, et aux conseils que je dois vous donner.
Mais je sais bien qu’il vous faut un peu de temps. Prenez-le.
Je reste à votre écoute.
Bien à vous,
M.C.