Bonjour, Soraya.
Je comprends votre tristesse et votre désarroi. Effectivement vous êtes seule, et mon aide est bien dérisoire...
Mais je veux encore insister sur un point.
Toute votre attitude, toute votre souffrance, son basées sur l’amour que vous éprouvez envers votre mère.
Cet amour vous crée un autre devoir, plus important encore : celui d’être efficace dans l’aide que vous lui apportez. Et une bonne part de votre souffrance vient de ce que vous ne pouvez pas être efficace sans vous heurter à elle. Mais ce qui compte c’est l’efficacité : le cœur n’est rien sans la tête.
Je reste à votre écoute.
M.C.