Bonsoir.
Je ne sais pas répondre à votre question, mais vous n’imaginez pas à quel point elle me fait plaisir.
Du moins, si j’ai bien compris.
Car vous touchez là un énorme problème : celui de l’écart qui existe entre (allez, tant pis si on me reproche ce langage qui n’est pas politically correct) l’aidant et l’aidé ; pour prendre l’exemple le plus banal, le fait d’être un professionnel des soins palliatifs en bonne santé devant le malade en fin de vie est pou lui ne violence ; oh, certes, ça n’empêche pas de s’en occuper, mais on serait bien imprudent de ne pas la prendre en compte. De même, être jeune et s’occuper de vieux.
Et il existe indiscutablement des formes d’acharnement psychologique, relationnel, rééducatif...
Je trouverais passionnant de creuser cette piste. Mais est-ce bien de cela dont vous vouliez parler ?
Bien à vous,
M.C.