Bonjour,
je travaille dans un long séjour et je me questionne sur la place de l’hydratation par sous-cuanée de la moitié des résidents, tous les jours avec 1litre de soluté.
La mise en place du cathéter (sous-cutanée) est, me semble t-il, un acte banalisé dans le service. Cet acte engendre douleur, risque infectieux et l’opposition des résidents car beaucoup l’arrache...
A quel moment sommes nous dans l’acharnement thérapeutique ?