Bonjour, Annick.
il ne faut pas oublier que j’ai quitté mon père le 19/09 après l’avoir emmené au restaurant etc, et que le 20/09 il disait n’importe quoi...
Ce que vous décrivez, ce n’est pas le moment où la maladie a démarré mais celui où vous vous en êtes aperçue ; voyez http://michel.cavey-lemoine.net/spip.php?article10 . Notez que ma remarque ne portait aucune critique : il s’agissait pour moi de pointer le fait que, comme c’est d’ailleurs tout à fait normal, vous oscillez entre deux extrêmes également irréalistes.
Tout est très fluctuant
Oui, comme dans la quasi-totalité des démences, surtout à ce stade très particulier où elles se révèlent et semble prendre leur place. Autant dire qu’il n’y a rien de particulier à penser ni à faire : ce que vous observez c’est ce à quoi nous sommes accoutumés. Il est sage de garder un œil, comme vous le faites, sur les médicaments, mais cette hypothèse n’est nullement nécessaire pour expliquer la situation.
Bien à vous,
M.C.