her Michel bonsoir
Vous m’éclairez là une fois de plus sur le Midazolam
J’ai vécu la fin de ma belle-mère à l’hopital l’année dernière
(94 ans infection pulmonaire , maladie bulleuse)
le Midazolam a été administré le lundi soir en même temps que de la morphine
elle s’est endormie n’est plus revenue à elle pendant les cinq jours
qui ont suivi et abouti à son décès
j’évoque cela pour en arriver à l’actualité et la "priorisation"
que nous fait découvrir le Monde aujourd’hui
montrant que les malades du Covid 19 ne seront pas tous admis en réanimation, je cite :
"Que deviennent ceux refusés en réanimation ? Pour leur garantir « une fin digne », Bertrand Guidet appelle à mettre en place rapidement des unités aiguës de soins palliatifs, assurant avoir évoqué ce sujet avec le président de la commission médicale d’établissement de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris. « Il y a des morts plus difficiles à vivre que d’autres, l’asphyxie en fait partie », souligne Nicolas Van Grunderbeeck, pour qui de telles unités sont indispensables pour accompagner ces fins de vie"
d’où ma question y aura-t-il assez de midazolam pour ces soins palliatifs spécifiques ?
fidèle amitié
Alexandra