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En réponse à :

La détresse des hôpitaux français

, par Michel

En ajoutant que pour ma part je ne cotisais pas à une caisse de retraite mais à une assurance vieillesse : un mécanisme qui me garantissait que quand je ne pourrais plus travailler on ne donnerait quand même à manger. Cette garantie couvrait en somme les cinq dernières années de ma vie. Depuis tout a évolué (et j’en suis heureux) sauf une chose : le financement.

Bien à vous,

M.C.

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