En ajoutant que pour ma part je ne cotisais pas à une caisse de retraite mais à une assurance vieillesse : un mécanisme qui me garantissait que quand je ne pourrais plus travailler on ne donnerait quand même à manger. Cette garantie couvrait en somme les cinq dernières années de ma vie. Depuis tout a évolué (et j’en suis heureux) sauf une chose : le financement.
Bien à vous,
M.C.