3 conclusions en ce qui me concerne :
Ces subtilités ont tout intérêt à être discutées de façon générale, pour autant qu’on sache le faire.
Il est tout-à-fait possible d’écrire que la justice n’a pas à écrire les ordonnances sans reprendre le texte de celles-ci, très compréhensible et très clair si c’est le seul argument.
Si l’on parle de situations aberrantes, il importe de dire en quoi et de l’expliquer. Ce qui rend indispensable que l’on sache le faire. Aucune discipline ne supporte que l’on écarte une critique lucide.