Pas tout à fait. Mais cela ramène la discussion à un seul point ;
Mon erreur est de croire ou d’avoir cru en l’inocuïté de la sédation, réversible et ajustable sans risque létal majeur, ce qui permet de l’envisager en dehors d’une situation de fin de vie. Dans cette optique, il me semblait que la sédation profonde ne présentait pas plus de risque tout en présentant la possibilité d’un bénéfice supérieur, et était donc supérieure aux autres options.
S’il n’en est rien, le dernier point ne concerne plus ce cas particulier, mais le cas général : si la sédation profonde ne peut être envisagée que dans les cas de fin de vie, comment envisager de la proposer aux dépressifs suicidaires, aux malade en voie de guérison mais sujets à de fortes douleurs, etc ?